Miralhet proposent un bal où les mélodies roulent et grondent, scintillent et virevoltent, où les timbres se complètent et se confrontent, propulsant la danse dans un mouvement effréné.
– – –
En matière d’hybridation, François Robin et Mathias Delplanque en connaissent un rayon. Plonger la veuze (cornemuse des marais vendéens), instrument qui respire, souffle, crie et gémit, au cœur d’un dispositif
électroacoustique mêlant sampling en direct et nappes de bourdons synthétiques, il fallait oser…
Pari tenu et augmenté en quatuor. Avec les présences du saxophoniste Ronan Le Gourierec et de Dylan James à la contrebasse préparée, «Les Ombres de la Bête jouent la polyrythmie, le tribal, le rugueux et l’enivrant avec de fortes oscillations dynamiques et le croisement des timbres entre acoustique et électronique.
Infos pratiques prochainement